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Communication politique : CorioLink sur LCI

Communication politique : CorioLink sur LCI

Jacky Isabello, le cofondateur de CorioLink, agence de conseil en communication d’influence et spécialisée dans les relations presse, relations publiques et communication politique, était l’invité de l’émission Com’Toujours sur LCI.

Ce jeudi 15 septembre, Jacky Isabello était convié sur le plateau de Julien Arnaud, aux côtés de Philippe Moreau Chevrolet et de Nicolas Boudot pour analyser l’actualité dans le prisme de la communication.

Lors de cette émission, trois thèmes ont été débattus. Dans un premier temps, l’annonce d’Alstom de la fermeture de son site de Belfort.

Par la suite les invités ont décrypté la communication de Hillary Clinton, candidate aux élections présidentielles américaines, autour de son récent malaise.

Ce qui est terrible c’est que les Clinton ont encore trouvé le moyen de donner une fausse information au public, car cette pneumonie n’a pas été confessée tout de suite. Il a fallu que des journalistes américains aillent creuser. Et évidemment c’est une erreur de com dramatique, puisque le camp Trump et les autres observateurs ont une fois de plus rappelé que Hillary Clinton avait cette sale habitude de cacher les choses avant, parfois, d’avouer la vérité.

Enfin les invités ont clos l’émission en analysant le passage de Yann Barthès de la chaîne Canal + à la chaîne TF1. Selon Jacky Isabello, plusieurs choses sont à retenir :

Il y a plusieurs choses à dire. Il y a très peu de gens qui sont capables de transférer un auditoire, ça a été fait dans des situations assez délicates, on vire Bouvard pour faire rapide, et on s’aperçoit qu’un animateur est détenteur de son auditoire. Ça a été la première fois, il y a très peu de gens qui l’ont fait, c’est exactement ce que vient de faire Yann Barthès. La com de Yann Barthès c’est ni plus ni moins ce qu’ont fait les Daft Punk, toutes proportions gardées, c’est-à-dire séquencer énormément les choses et distiller ici ou là sur les réseaux sociaux, sur des channels beaucoup plus grands publics. (…)

La troisième chose, finalement les gens préfèrent l’original à la copie puisque Yann Barthès n’a pas véritablement innové, il nous a donné ce que l’on avait envie de regarder. (…) Très très bon coup de com.